Une atmosphère bien inquiétante (pv Taelos Davion)

Je serrais mon arc contre ma poitrine de toues mes forces. Dans l'une de mes mains, j'avais gardé une flèche qui luisaient sous la lueurs blanche de la foret. Cette dernière ne me disait rien qui vaille. J'avais connaissance des propriétés de cette foret toujours sombre. J'avais entendu dire que ceux qui s'y aventuraient ne revenaient que rarement. Les seuls survivants -il n'y en avait que deux - avaient les yeux emplis de terreur et le corps tremblant à chaque fois qu'une personne les interrogeait sur cette partie de leur vie. J'avais entendu leur récits d'une oreille distraite, passionnée par leur paroles tremblotantes. Il semblerait que des créatures encore non répertoriées y vivaient au calme, mais s'attaquaient aux courageux voyageurs qui s'avisaient à traverser cette forêt.

Je m'étais donc munie de mon arc et mes inséparables flèches, veillant cependant à cacher mon poignard entre les plis de ma jupe en cas de dernier recours si mon autre arme ne suffisait pas. Je m'étais aussi armée de mon courage qui devenait plus fort au fur et à mesure des épreuves qui m'étaient infligées.
J'étais donc partie dans cet état d'esprit dans la foret noire, prêt à affronter les dangers, biens qu'ils me térrifiaient d'une part.

Alors pourquoi m'étais aventurée entre ces lueurs sombres qui me fichaient la frousse ?

Ma curiosité à découvrir ces créatures et l'ambiance ténébreuse de la forêt avait guidé mes pas. Et maintenant, je me retrouvais ici, perdue entre ces arbres aux mains crochues qui tentaient de m'attraper. Les lucioles vertes voletaient dans les ténèbres, rendant encore plus les lieux inquiétant. J'avais l'impression que chaque buisson, chaque arbres fixaient chacun de mes gestes. Je serrai de ma main portant la flèche ma cape, la ramenant contre moi, pour éviter qu'elle ne se fasse lacérer par les branches crochues

C'est alors qu'un râle parvint à mes oreilles fines. D'instinct, je bandais mon arc et encochais ma flèche à la corde, tournant sur moi même, visant chaque fourrés, chaque ombre d'arbres.
Le feulement s'amplifia et mon coeur s'emballa dans ma poitrine. Cependant, je ne m'étais jamais sentie si excitée. J'avais peur mais mon courage semblait prendre le dessus, procurant une sensation pour le moins très étrange...
Les fourrés s'agitèrent et la chose bondit dans ma direction, griffes sorties.

Sans réfléchir une seconde, je relâchais la corde.

Percher sur un arbre en plein nuit, Taelos sentait le vent bercer ses cheveux et le coté de son visage brûler. Il ne pouvait oublier le combat qui avait sceller sa vie et il allait en garder une marque tout sa vie. L'humaine entendait au loin les hurlement de sa proie et de son future repas , le sourire sur le coin des lèvres.

Le souvenir lointain remontait en lui. Le long trajet et les épreuves et créatures qu'il a du affrontées pour sortir de l'outre terre. Gardant de lourde séquelle psychologique sur le mode de vie dans l'outre terre, il a vite appris a devenir le prédateur et non la proie.

Alors qu'il affrontait une bête pourvu d'un minimum d’intelligence, tout ce qui résonnait dans sa tête , était les paroles sauvage de la bête.

Manger !

L'affreuse bête au 3 yeux et au bras hérisser ne fessait que répéter la même chose alors que l,humaine se tenait sur ses deux pied , un bras en miette par un coup porté par le large bras armé d'une étrange masse. Le combat fini, essoufflé , il avança vers la sortie et la lumière de l'extérieur lui brûla les yeux sur le coup .

Habituer au longues années sous terre, l'humain avait développer une vision dans l'obscurité et étaient très sensible a la lumière du jour. Se disant qu'il avait hérité d'un don, il se concentra a attendre la nuit, il se déplaça dans l'obscurité entraînant son corps a la nouvelle température de l'extérieur et l'agilité pour passer de proie a prédateur.


Les années passa et Taelos était maintenant un prédateur parmi les ombres, chassant sa nourriture et se reposant que le jours, gardant le don de la nuit pour voyager dans l'obscurité. Il aboutis dans la Foret noir et il se promena parmi les arbre, sa lance séparé en deux , traquant sa proie qui lui servirait de nourriture.

Son esprit se réveilla et il entendit l'animal passé sous l'arbre et il se prépara a se jeter de l'arbre qu'il entendit par son ouïe , une flèche passer rapidement dans le cou de la bête.


L'humain jura entre ses dents et doucement , il se laissa chuté de l'arbre pour apparaître derrière la ou le responsable. Silencieusement , il avança mais se stoppa voyant une elfe apeuré marcher dans le chemin. Son armure reflétait les rayons de la lune et dans un bruit sec, il assembla sa lance double tête et il avança doucement pour être a 1 mètre de l'elfe.

Tu ma volé mon repas petite elfe apeurée.

La créature émit une cuinement aigu et étouffé lorsque ma flèche pénétra dans sa chair. C'était le son que je détestais le plus au monde. Etant une Elfe, j'étais protectrice des animaux et la moindre souffrance de leur part me fendait le coeur.
Alors, même à ce moment, alors que la bête avait voulu m'attaquer et mettre en pièce, je ne pouvais que ressentir du dégoût à mon égard et de la compassion pour la douleur de la créature. Me relevant, je m'approchais de ma victime et retirai d'un geste élégant la flèche de sa poitrine. Les quelques secondes qui lui étaient encore accordées se réduisaient de cette manière. Son agonie prendrait bientôt fin et elle serait libérée de la souffrance.

D'un geste machinal, j'essuyais la pointe de la flèche contre un pan de ma robe, la salissant d'une grande traînée rouge bordeaux.
Cependant, un bruissement de feuilles et un bruit sourd caractérisant une réception à terre fit frémir mes oreilles pointues. Je n'eu pas le temps de bander de nouveau mon arc pour faire face à l'inconnu. S'il était plein de mauvaise intention, mon sort en était jeté.
Je me retournais et fit face à une pointe dirigée dans ma direction.
L'homme qui me tenait en joue n'était clairement pas de bonne humeur et il me reprocha d'avoir volé son repas, me qualifiant d'Elfe apeurée.
Je fronçais les sourcils face à cette remarque cinglante. Elle n'était pas entièrement vraie. Si j'avais été complètement apeurée, je me serai enfuie il y a bien longtemps. Pire, je n'aurai même pas tenté de pénétrer dans ces bois sombres.

Sortant d'un geste habile mon poignard gravé de rune des pans de ma robe, je fit tinter sa lame contre la pointe acérée de la lame de l'inconnu. Ainsi, il verrait que je n'étais pas aussi peureuse qu'il ne le pensait. Que j'étais prête à me battre s'il le fallait. Bien que je souhaitais éviter cette possibilité.

Vous m'en voyez là désolée, Humain, dis-je en repoussant doucement son arme. Cependant, le créature aurait été morte également si vous l'aviez attaquée. Je ne vois donc pas une grande différence à ce que je l'ai abattue.

D'un geste, je replaçais la flèche dans mon carquois et me saisit de mon arc. Je tournais autour de ma proie, le nez froncé à cause de l'odeur que sa carcasse dégageait. La désignant de la pointe de mon poignard, je me tournais vers l'inconnu.

D'ailleurs, je vous en fait cadeau, ajoutais-je en haussant un sourcil. Je ne l'ai tué que pour me défendre, elle est tout à vous.

Revenant près de l'humain, je n'avais toujours pas baissé ma garde et ma poigne se faisait plus dure sur le bois de l'arc.

Qui êtes vous ? m'enquis-je prudemment. Je n'avais pas connaissance d'Humains peuplant cette sombre forêt...

Taelos se tenait devant une elfe malgré elle pas si apeuré que sa. Elle sortait une dague portant des rune, le guerrier améliora sa prise sur son arme a double tête tranchante en sentant le léger choc du métal. Profitant du choc de son arme contre la sienne, Taelos utilisa son pouvoir pour rendre la lame de l'elfe émoussé et incapable de couper du beurre au cas ou si elle voulait faire un petit coup vif pour le surprendre.

De sous son casque, le guerrier observa l'elfe au coté de l'animal mort et il pouffa la mention du mot ''humain''

Qui vous dit que je suis un humain sous cette lourde armure massifs.

Il rigola sous son casque sombre qui ne laissa voir que ses yeux de couleur rouge écarlate brillant. Il la laissa remettre ses choses sur elle mais, il trouva étrange qu'elle tournait au tour de la carcasse mort de la bête.

Alors qu'elle lui annonçait qu'elle lui offrait en cadeau la carcasse de la bête , malgré ses dire, Taelos ne s'aurai pas gêner pour la prendre malgré le contraire des dire de l'elfe.

Même si vous me l'offrez , je ne m'aurait aucunement gêner pour prendre ma proie.

Alors qu'il approcha de la bête pour sortir son glaive et commencer a découper la peau de l'animal mort. Durant ce temps elle lui expliquait qu'elle avait tuer l'animal pour se défendre et que même si sa serais lui qui l'aurait tuer sa aurait fait la même chose.


Si vous auriez pas décocher cette flèche, elle ne serais pas morte et elle ne vous aurait pas tuer, elle grognait après moi et j'allait lui porté le coup fatale au moment ou vous l'avez tuer.

Il pris une pause, savourant le vent filtré au travers de son casque au plaque de métal sombre , léger et résistante. Il porta son arme dans l'estomac de l'animal pour extraire ses organes encore fumant.

Le fait que ce soi moi qui l'aurait tuer , aurait changer bien des chose. La satisfaction de mériter mon repas, j'aurais tuer l'animal avec passion car tuer, est un art et une force qui procure du plaisirs immense.


Durant se temps, il nettoya son glaive sur la fourrure de la bête pour le ranger et sortir son Xiphos pour découper des lanière de viandes qu'il allait ranger pour transporté avec lui.

Le guerrier au yeux couleur sang leva les yeux et il vit que la lune descendait progressivement alors qu'il avait passer beaucoup de temps a traquer la bête.
Il découpa la peau pour du futur cuire et il se retourna vers l'elfe.


Qui êtes vous ?

Il se retourna doucement, prenant son casque a deux main, il tira d'un coup pour enlever les sangles et il le retira. Son visage du coté brûler apparu sous les reflet de la lune. Dévoilant un visage blesser aussi terrifiant que sadique.


Voici qui je suis.

Alors que la plus part de ses cheveux long était plaquer derrière sa tête, certaines mèches était présent du coté de son visage brûler.

Et vous que faite vous dans cette foret hostile , ce n'est pas votre place ici ! Vous allez mourir si vous vous promenez innocemment.

La voix de Taelos se fessait plus grave.

Un rire étouffé me parvint et je devinais que l'inconnu était en train de se moquer de moi, sans doute. A quel sujet ? Je n'en savais rien. Ce n'est que lorsqu'il m'interrogea sur ma certitude qu'il soit humain que j'en compris la raison.
Observant de nouveau ses prunelles de sous son casque, je le fixais sans scillier.

Je ne détecte aucune aura différente de ces elle des humains autour de vous, dis_je. C'est uniquement la raison de mon affirmation. Cependant, peut être suis-je en train de ma tromper. Après tout, je ne sais rien de votre vie.

Je fis un pas de côté lorsqu'il se baissa près de la créature pour en découper de larges morceaux de viandes. Il marmonna que mon action avait été irréfléchie, que ma bête en avait après lui et non moi. Il affirma également qu'elle ne m'aurait pas attaquée, ce dont je n'étais pas convaincue.
Dans tous les cas, il fallait être prudent. Même a cet instant, je ne relâchais pas ma garde. Tout pouvait arriver et la situation pouvait facilement se retourner. Nous étions dans une sorte que conversation équilibrée. Cependant, la barre où nous évoluions pouvait pencher d'un côté où de l'autre.
Je rangeais mon poignard dans les pans de ma robes, la faisant disparaître des regards.

L'homme se tourna vers moi et se releva lorsque je lui demandais qui il était exactement. D'un geste mesuré, il délaça son casque et ôta celui ci, dévoilant un visage qui m'arracha un cris de stupeur. Les rayons pâles de la lune se déposaient sur les plaies brûlées qui marquaient la moitié de son visage, lui donnant un air terrifiant et sinistre.
Malgré moi, je reculais de quelques pas alors qu'il me retournait la question.

Je n'ai pas peur de la mort dis-je en fixant ses prunelles rouges. Elle viendra bien un jour. Si je suis venue c'est par pure curiosité, un trait commun à tous les Elfes.

Le fixant entièrement, je devinais par les multiples marques parcourant son corps qu'il n'avait pas eu un passé facile. Ces blessures n'étaient pas dues à des attaques humaines. Elles étaient bien trop conséquentes.

Cependant, maintenant que vous êtes là, je ne me balade plus innocemment, je suppose.Vous m'avez l'air de bien connaître ces environs, observais-je en désignant les arbres crochus qui nous entouraient.

Une aura, elle le différencia des autres races de cette façon. Elle ignorait qu'une aura pouvait aussi bien être camouflé magiquement que naturellement par le simple fait de la nature. Se rappelant que bien malgré la douleur qu'il avait eux et les blessure reçu, il restait bien un humain mais, en lui, il ne l'était plus. Son seul morceau d'humanité avait été brûler en même temps que son visage et il devait vivre avec cela.

D'une voix glacial, il lui répondit aussi sèchement qu'un maître parlant a un élève en faute.

Cette aura pourrait très bien te jouer des tours, ce que tu voie devant toi, mon armure , mon casque et mes yeux, qu'elle impression je te donne ? Si je me regarderais, j'aurait l'impression qu'un démon se prépare a me découper !

Toujours l'arme a la main, il découpa de la viande , en s'approchant de l'elfe pour y placer les tranches sur de longues branches pour laisser la viande égoutté et sécher un peu. Percevant dans ses yeux sa crainte, il ne fit aucun mouvement brusque et il continua son travail de charcuterie alors qu'il garda l'un de ses yeux écarlate sur l'elfe. Dans son esprit, une lumière s'illumina et il ressentis que de l’idiotie face a l'action de L'elfe de ranger son arme. L'un des des conseilles a suivre dans cette forêt, avoir une arme a la main en tout temps sinon, vous est mort.

Au même moment qu'elle rangeait son arme, elle lui parla de sa non peur de la mort et de sa curiosité. Un ''trait'' soi disant commun des Elfe, un trait qui la conduirait un jour dans la mort. Ressentant maintenant de la colère face au paroles idiote de l'elfe. Ce qui choqua de plus Taelos, c'est que l'elfe pensait qu'elle était en soi disant ''sécurité'' en disant qu'elle ne se baladait plus innocemment seul.

Dans un mouvement brusque, il planta son glaive dans le cou de l'animale et il se retourna sa lance en main , laissant la pointe et le coté d'un tranchant collé contre le cou de l'elfe.

Vous n'avez pas peur de la mort ? Vous avez une curiosité un peu poussé et vous croyez que je vous serais d'une aide si il arrivait qu'elle que chose, détrompé vous, je pourrait aussi bien être cette chose qui vous découperais en morceau et planter votre tête sur une pique a l'entré de la forêt pour montré au votre ce comment fini une curiosité trop poussé.

Il bougea un peu la main et une goûte de sang apparaissait sur le plat de la lame double tranchant appuyer sur le cou de l'elfe. Le visage de Taelos n'avait pas changer sous son regard rouge sang.

Il était horrible. Il était horrible alors que je tentais par tous les moyens de tenir un discours diplomatique. J'avais la preuve contraire de ce que j'avais avancé quelque peu auparavant. Cet homme était dangereux, autant que cette créature qui avait émergé des fourrés. Je portais furtivement ma main dans les pans de ma robe alors que la lame de sa lance se pressait avec plus de force sur ma gorge.
Je sentis quelque chose en découler, lentement. Je n'avais aucun doute de ce que c'était. Cet homme enragé faisait couler mon sang sans en avoir un seul remord.

Je ressortis discrètement ma dague, regrêttant de l'avoir rangée plus avant. C'était ma seconde arme après mon arc. Mais ce dernier ne m'était d'aucune utilité. Je me trouvais trop près de l'inconnu et j'étais certaine qu'il n'hésiterai pas à me trancher la gorge si je faisais un seul geste. Il fallait que je sois prudente, encore plus qu'à mon habitude.
Je ne le détestais pas. Loin de là. Il n'avait rien dit de valable pour que je déteste ce qu'il était. Je le trouvais seulement effrayant, étrange et sûrement un peu déranger. Mais j'avais vu pire parmi les humain où les elfes. Nous n'étions pas tous guidé par la lumière. Certains préféraient les ténèbres et qui sait ce qu'il advenait d'eux.

Soit, dis-je en plantant mes prunelles dans les siennes, rouges. J'ai sûrement eu tourd sur votre compte depuis le début. Mais ma curiosité n'est qu'innocente et non idiote.

Parce que c'est ce qu'il devait penser de moi. Que j'étais une idiote yen trop curieuse, inconsciente du danger et prête à se faire tuer par un fou comme lui. Il n'avait pas entièrement tord. S'il souhaitait me tuer, pourquoi ne l'avait il pas encore fait ? Avait-il peur de se trouver coupable d'un meurtre ? Qui plus est celui d'une jeune elfe inoffensive ?
Je ne le quittais les des yeux, me concentrant sur ce que j'allais faire. Je détestais ça mais puisque la diplomatie paraîssait trop compliquée pour mon agresseur, autant utiliser un domaine qu'il connaissait peut être mieux.

Je me mis à me déplacer en demi cercle, sans le lâcher du regard.

Qu'attendez vous ? Tuez moi. Tuer un Elfe, ce n'est pas si compliqué. Il vous suffit d'enfoncer la lame plus avant dans ma gorge.

Plus vive que l'éclair, je lançais ma dague en direction de son visage, lui écorchant au passage que faiblement sa joue. Ce laps de temps me permis de me jeter à terre et de faire une roulade avant juste à temps pour récupérer mon arme et bander mon arc, ma flèche le visant. Je ne sourcillais pas.